Logo original de la série One Piece. Le livre raconte les aventures quasi cartoonesques de Luffy, un adolescent au corps élastique, et de son équipage pirate, voguant à travers les mers à la rencontre d’une flopée d’ennemis et de créatures en tout genre. Ces jumpsuit Onepiece sont portées par tout le monde : dans les écoles aux clubs en passant par la rue. Il a donné naissance aux plus grands succès de la bande dessinée nippone, comme Dragon Ball, One Piece ou encore My Hero Academia.
Oui il a eu des soucis de santé, parce qu’il se surmène, non il n’est pas malade de one piece dans le sens qu’il n’en peut plus psychologiquement de son oeuvre et souhaite la bâcler. Le recul des ventes s’explique aussi par les changements d’usages des Japonais, qui désormais passent le temps dans les transports sur leur smartphone au détriment de la lecture.
Bien qu’il s’agisse de son premier film de la franchise, Munehisa Sakai est un habitué de l’univers one piece spoiler puisqu’il avait déjà réalisé quelques épisodes de la série pour le petit écran. À présent, il est motivé pour battre les Amiraux de la Marine, les Quatre Empereurs pirates (dont de retrouver Shanks le Roux) en plus de sa quête initiale de trouver le trésor One piece pour égaler un autre D (Roger, l’ancien roi des pirates) afin d’en être le nouveau dépositaire.
La pression sera d’autant plus forte que l’univers de One Piece, riche de 80 tomes et 800 épisodes animés, semble visuellement et scénaristiquement délicat à adapter. En effet, Onepiece s’article autour de l’art de ne rien faire, l’art du slacking”, défini par la procrastination ou encore la détente. Luffy, un garçon espiègle, rêve de devenir le roi des pirates en trouvant le «appli streaming one piece Piece», un fabuleux et mystérieux trésor.
L’escargophone noir : capable d’intercepter les communications des autres escargophones, il est généralement utilisé par la Marine pour capter des communications entre pirates, et sa petite taille permet de le porter au poignet. Tandis que la concurrence incarnée par Shonen Magazine (éditions Kodansha) et Shonen Sunday (éditions Shogakukan) a signé les principaux talents de l’époque, Shonen Jump organise des concours pour dénicher des novices et les faire grandir, tout en veillant bien à leur faire signer un contrat d’exclusivité.